Le programme de 2016 !

Un rendez-vous musical gratuit, éclectique et populaire !

Le Paillote Festival propose 14 concerts entièrement gratuits, en plein air, durant 3 jours. De la chanson française, de la pop, en passant par le rock, tous les genres musicaux seront représentés et les artistes suisses mis à l’honneur.

 

Le Parc de l’Indépendance à Morges accueillera du 15 au 17 septembre 2016 le Paillote Festival qui promet cette année encore une programmation diversifiée, résolument festive pour un succès populaire. Pour cette 9e édition, la scène sera occupée par des artistes provenant de toute la Suisse et de France.

 

La 9e édition débutera le jeudi 15 septembre par un groupe vainqueur privilégié et choisi lors du tremplin qui verra 5 groupes s’affronter le 18 juin à Morges sur la Place de l’Hôtel de Ville, en collaboration avec l’Association morgienne d’activités culturelles. Ils seront suivis des zurichois de The Hillbilly Moon Explosion qui assureront l’ambiance avec leur rockabilly sauvage, leur rock’n’roll pur jus teinté de rhythm and blues 50’s. The Booze, formation française de punk irlandais vont à tous les coups assurer le spectacle avant que les régionaux de l’étape Broken Box viennent présenter sur scène leur premier album fraîchement sorti dans les bacs.

 

Comme le veut la tradition, la soirée du vendredi 17 septembre nous fera voyager à travers les musiques du monde. Elle commencera, tout en douceur, avec la voix sensuelle de la genevoise Samia Tawil avant que les fribourgeois de Todos Destinos lancent les hostilités avec leur ska punk festif. Laissant place à l’improvisation, soutenue par une section rythmique du tonnerre, Lady Bazaar vous proposera un voyage détonnant et riche en couleurs qui enchantera tant les mélomanes que les accros du dancefloor. Direction le soleil avec Somogo. Les 7 sorciers percussionnistes remontent aux sources du rythme, aux racines de leur inspiration. Et pour finir en beauté et avant que les chiens n’aboient, place à La Caravane Passe. Ces manouches déjantés vont nous transporter sous d’autres horizons avec leur musique métissée, mélange de jazz manouche, de fanfare balkanique, de rock alternatif et d’électro.

 

Le dernier jour du Paillote Festival contentera toutes les générations. Pour ouvrir les festivités, dès l’après-midi, nos jeunes pousses pourront s’initier aux concerts de rock avec la venue de François Hadji-Lazaro & Pigalle qui nous présenteront leur nouveau projet jeune public pour le bonheur des tous petits et de leurs parents. Les quatre beaux gosses de Jetlakes, viendront tout spécialement du bout du lac distiller leur pop rock. Pour mettre le feu aux poudres, aux biennois de Death by Chocolate et leur rock puissant et efficace de fouler la scène.

 

Pour conclure ce festival, partons à la découverte de Melissmell avec ses chansons caractérisées par une rage et un militantisme hérités de Noir Désir, Léo Ferré ou Mano Solo. Et comme tout a une fin, les bernois de Pablopolar auront le privilège de faire résonner une dernière fois leur rock rafraîchissant, direct et authentique sur la scène du Paillote.

Somogo

Avec leur 5e album, « Origins », les 7 sorciers percussionnistes de Somogo remontent aux sources du rythme, aux racines de leur inspiration. Bongo, conga, surdo, djembé, ils puisent au langage universel et premier, sans mots: celui du tempo, qui se parle en dansant et fait tressaillir la peau. Au doigt, à la baguette, au souffle bourdonnant du didjeridoo, ces chamans du groove déclenchent un sortilège unique: une transe collective digne d’un rite bantou. Après plus de 15 ans d’enchantements et de voyage extatique, « Origins » vient battre le rappel de la tribu Somogo, qui repart de plus belle sur les sentiers de la vibration.

The Booze

Sur les routes depuis 10 ans pour fêter un nouveau millénaire de musique, les Booze écument les scènes d’Europe, de Brest à Targu Mures (Ro) et de Bilbao à Katowice (Pl), partageant les planches avec des groupes tels que Galdubh, Four men and a Dog, Maurice Lennon, Celtas Cortos, Flook, La Varda, Jimmy Cliff, Lofofora, Parabellum, Gogol Bordello, The Exploited et bien d’autres.

Le quatrième album « Reels and Squeals » sorti en avril 2010 vient prouver que le rock n’est pas mort et surtout pas celui inspiré des Flogging Molly’s ou des Real McKenzies Entre les guitares saturées et la rythmique basse batterie à toute berzingue vient se greffer sans mal accordeon, bodhràn, flûte ou cornemuse. Comme une furieuse envie de pogoter entre deux dolmens.

Si on y rajoute quelques passages plus atmosphériques et quelques textes en occitan ou en anglais, engagés et enragés contre la société de con-sommation dans laquelle on vit, on ressort d’un concert des Booze avec une rage celtique qui en a poussé certains à se jeter nu sous leur kilt, épée au poing sur les passants honnêtes…

Bref, « You never forget a night with The Booze brothers ».

Hillbilly Moon Explosion

Exactement 3 ans jour pour jour après leur dernier album (Damn Right Honey), The Hillbilly Moon Explosion reviennent avec un nouvel album : « With Monsters And Gods ».

3 ans qu’ils ont passés à sillonner les routes de France, d’Angleterre, d’Allemagne et d’Espagne pour donner des concerts brulants et endiablés.

3 ans qu’ils ont passés à composer des nouveaux titres.

Emanuela Hutter (au chant et à la Guitare), Oliver Baroni (au chant et la Slapping Bass) Duncan James, le Maestro, à la Guitare et le dernier arrivé : Sylvain Petite à la batterie.

Bien sur on retrouve dans les guests l’incroyable Mark « Sparky » Philips, chanteur psychotic des Demented Are Go !, sur deux titres dont une reprise de Nancy Sinatra et Lee Hazlewood – reprise avec succès par Johnny Cash et June Carter : Le magnifique Jackson.

Le même Sparky qui avait déjà invité sur les précédents albums du groupe dont le My Love For Evermore, Murder Ballad embrumée dont le clip a été vu près 7 Millions de fois sur Youtube.

Leur 4ème album est là avec son cocktail de Rockabilly Sauvage, de Rock’n’Roll Pur Jus, de Rhythm And Blues 50’s, de Rocksteady ensoleillé et de Blues Vintage.

En un mot : Le Rock’n’Roll dans ce qu’il a de plus essentiel.

La Caravane Passe

La Caravane Passe revient en 2016 avec un nouvel album intitulé CANIS CARMINA (les chants du chien). Un album composé de 10 titres, dont 6 acoustiques et 4 remix. Pour ce nouvel album et ce nouveau show, La Caravane Passe confirme qu’elle a la bougeotte. Leur musique se joue des frontières entre traditions (des Balkans au Maghreb en passant par la Catalogne) et musiques actuelles (rock, hip-hop, rage). Elle laisse se déployer son univers de voyage, de nomadisme et de déracinement. Le point de vue « caravanien », c’est le point de vue des gens de passage, qui découvrent une société et la décrivent avec poésie et étonnement.

Autour de Toma Feterman (chanteur, auteur et compositeur principal du groupe, et également connu sous le nom de John Lenine au sein du Soviet Suprem), le groupe est resté intact et soudé depuis 15 ans, avec Olivier Llugany (au fiscorn et au chant), Zinzin Moret (au sax), Ben Body (à la basse) et Pat Gigon (à la batterie). 15 ans de tournées, 5 albums, 1 disque live, et 1 « Opéra-Gypse-Rock » mythique : Le Vrai-Faux Mariage. Fort de ses collaborations avec entre-autres Sanseverino, Rachid Taha, R.wan, Marko Markovic, Stochelo Rosenberg, ou encore Tom Fire, le groupe a su puiser dans les musiques les plus variées, tout en gardant sa couleur propre et originale.

Canis Carmina, ce sont les chants d’un chien sédentaire devenu errant depuis le passage d’une caravane devant son foyer. Refusant de lui aboyer dessus, il a choisi de quitter son maître pour devenir une sorte de touriste éternel. Un voyage sans attaches, plein de rencontres et de photographies musicales; une barmaid féerique, un homme d’affaires ? qui fait sa traversée du désert, des klaxons qui font danser, un défunt gitan, un chien qui boit sans oublier…

La voix de Toma, tantôt chantée, tantôt rapée, retrace ce périple du quotidien et ces rencontres oniriques, tout en rappelant sa double culture (parisienne et d’Europe de l’Est). Et quand Llugs, le tromboniste, prend la parole, c’est pour y apporter une touche gitane de la Catalogne. La réunion de ces deux acolytes, c’est déjà l’Europe qui se réunit. Mais une Europe culturelle, une Europe qui confronte ses folklores oubliés, comme pour mettre tout le monde d’accord.

Todos Destinos

Todos Destinos, entité non-palpable composée de 10 réservoirs à bonne humeur est reconnue pour ses interventions sonores de type « immenses fêtes » Quand certains cherchent la carrière prolifique, Todos fait des pauses de 2 ans pour voyager. Là ou d’autres se tirent la bourre sur leur look, Todos propose ouverture d’esprit et camaraderie. Quant à ceux qui rêvent music-business et contrats faramineux, Todos leur ri au nez en revendiquant indépendance et liberté. Les Todos, c’est un peu le contre-pied permanent, la touche de délire dans un quotidien souvent trop maussade.

Ska festif, Rock enragé ou Reggae chaloupé à touches latino, c’est un concentré d’énergie joué par une bande de potes que les Todos vous proposent depuis 2002. 13 ans plus tard, « Les Attracteurs Etranges » est une synthèse d’une décénie de voyages, de fête et d’ouverture mais aussi d’indignation et de prise de conscience ! Si les bons-vivants ne vous font pas peur, venez fêter avec eux en live. C’est sûr, ils ne passent pas loin !

Samia Tawil

Samia Tawil est une auteure/compositrice/interprète genevoise de style Rock-Soul. Sa musique est un riche mélange se situant à cheval entre la sensualité d’un Funk-Rock vintage comparable à celui de Lenny Kravitz, et la puissance et l’éloquence de rockeuses féminines dans la veine d’Alanis Morissette ou de Skunk Anansie. Sa musique puise aussi ses influences dans ses racines métissées, faisant du rock de Samia Tawil un mélange d’influences d’une poésie unique. Née à Genève d’un père suisse/syrien et d’une mère marocaine, auteure de romans poétiques, Samia Tawil s’est très tôt découvert une passion pour les mots et l’écriture, parallèlement à la musique, ce qui se reflète dans la force évocatrice de ses paroles qui souvent, rendent compte d’injustices sociales comme elle a pu en être témoin en ayant vécu au Liban, au Brésil ou encore au Maroc.

Son récent album « Freedom is now » qu’elle a présenté en avant-première au Montreux Jazz festival en juillet 2013 lors d’une performance très remarquée, témoigne de cette richesse, et offre l’univers unique d’une Rock-Soul tantôt suave, tantôt rebelle, teintée d’accents world, un album qu’elle a continué de faire connaître à un public de plus en plus fidèle en 2014 lors de concerts à l’Arena de Genève lors de la One FM Star Night devant un parterre de 7000 personnes, ainsi qu’aux Docks, ou encore au Chat Noir, ainsi qu’au fameux Festival Mawazine.

Jetlakes

Le groupe poprock de Jetlakes entame l’année 2015 avec la sortie de son deuxième EP “Projections” (4 titres). En janvier, les genevois ont défendu pour la première fois “Projections” dans la salle du Chat Noir de Carouge (CH) lors d’un concert annoncé à guichet fermé. Cette expérience live annonce alors un tournant dans la carrière du groupe. Leur single “Empty Rooms” est immédiatement adopté par les radios (Yes FM, One FM, Rouge FM) et offre ainsi au groupe une visibilité sur les ondes hertziennes mais également à la télévision (Léman Bleu).

En 2014, la genèse du groupe est marquée par la sortie de “Back to life“, un premier single deux titres donnant naissance au projet. Durant cette période, l’habileté et le professionnalisme des Jetlakes se confirment grâce à de multiples expériences live (France et Suisse principalement: Réservoir Paris, Palladium Genève,

l’Arena Genève…).

Au delà de ce simple succès, le groupe est amené à évoluer. En septembre 2014, les deux guitaristes Romain et Yannick quittent le groupe et laissent ainsi à l’entité Jetlakes un potentiel de renouveau. C’est de cette façon que le groupe fait le choix d’intégrer un nouveau guitariste (Gaël) et de laisser ainsi plus de place au clavier et aux samples. Ce changement ouvrira de fait, de nouveaux horizons exploités aussitôt sur “Projections“. Depuis, les quatre musiciens forment un groupe à l’unisson. Leurs noms ? Alex (chant et clavier), Gaël (guitare et choeurs), David (basse et choeurs) et Arthur (batterie et samples).

Si le groupe a été marqué par un changement de formation et la sortie d’un deuxième EP, l’âme de Jetlakes s’est incontestablement forgée grâce à la scène. Pour sa deuxième année d’activité, le quatuor a entre autre foulé les planches du Caribana Festival à Crans-près-Céligny, de la Fête de l’Espoir à Genève, des Fêtes de Genève (première partie de Cats On Trees) et a également été programmé pour les Fêtes de la Musique de Genève, Nyon, Yverdon et Fribourg (oui tout ça en deux jours!). Ces multiples apparitions ont attiré l’attention des professionnels.

À la suite de leur performance au Caribana Festival, les musiciens signent en juin 2015 un contrat de booking avec l’agence Tenacity Music.

Pour continuer sur leur lancée, ces quatre garçons dans le vent reprennent le chemin des studios en août 2015 pour enregistrer leur premier album. Ils renouvellent alors leur collaboration avec Steven Forward, ingénieur du son et réalisateur anglais dont les collaborations forcent le respect: Paul McCartney, Ray Charles, Stevie Wonder, Jimmy Page… Depuis le début du projet, Steven est considéré comme le 5 ème membre de Jetlakes de par sa proximité et sa complicité avec le groupe. Dans l’optique de “développer quelque chose de professionnel”, en plus de l’appui de Steven Forward, le groupe continue de s’entourer et crée début 2015 son propre label Jetprod Music. Jetlakes grandit donc au sein de sa propre structure et se revendique comme un groupe indépendant.

Death by Chocolate

Swiss rockers Death By Chocolate have clocked up a number of significant milestones in recent times, performing with Bon Jovi at Letzigrund Stadium, Zurich, Switzerland, at Woodstock in Poland, and at the EXIT Festival in Serbia. Back home they were nominated by the Swiss Music Awards in the category « Best Live Act 2015 ». Alongside the highlights there have been long periods of hard and intense work. Their first album FROM BIRTHDAYS TO FUNERALS and their current work AMONG SIRENS (producer Ronald Bood, Mando Diao) are worlds apart, not so much in terms of the musicianship but rather in the rapid transformation of the band from newcomers to self-confident group with a purpose. AMONG SIRENS delivers a courageous, rough, no-messing rock sound. The songs reflect the determination of the band’s five members to create Death By Chocolate’s particular own brand of rock music. There’s no doubt that the evolution from emerging band to accomplished musical troupe evidenced by maturity of their second album, can be attributed in part to their more than 100 live appearances in both Switzerland and abroad where they have made some fairly influential international appearances such as a spot at Whisky a Go Go in LA, as well as playing several European tours including one with The Blue Van in Denmark. More recently they broke into the Swiss top 10 album charts and were chosen by national radio station SRF3 as BEST TALENT. In Spring this year they were awarded the Ultimate Industry Package at the Rock Summit in LA which goes hand in hand with an album release now scheduled in the United States, along with the release of the single ALFRED. This represents a huge step for the band from Biel in Switzerland, although it’s not entirely unexpected. The band has come a long way on their musical journey; the Death by Chocolate brand of rock is now authentic, punchy and uncompromising. What’s their aim? « To shake, stomp and rock stages all over the world, and blow some minds and ears ». There’s no doubt they’ll be reaching a few more milestones very soon.

Pablopolar

COLORIZE, le troisième album de PABLOPOLAR est paru le 11.09.2015. Le vaisseau spatial des cinq bernois revient sur terre tel un feu d’artifice sur notre paysage musical.

Les douze morceaux élargissent le son des deux albums précédents en joignant les attitudes rock de l’album «Any minute now» (2011) et les éléments un peu plus folk mélancoliques de «Sleepwalker» (2013). Ils nous emmènent dans de nouvelles sphères inexplorées. La sobre instrumentation ramène les chansons à l’essentiel. Les mélodies fragiles et mélancoliques soutiennent gracieusement la voix baryton de Manuel Kollbrunner. Comme dans les deux premiers albums, les mélodies sont marquantes, les passages de guitare de Simon Vogt sont authentiques et les rythmes sont simples et efficaces. Il y a tout de même du nouveau: PABLOPOLAR sonne positif. Les morceaux sont pleins d’énergie, le groupe possède un groove entraînant, les guitares rappellent les grands moments du Britpop et les synthétiseurs donnent aux chansons plus tranquilles une véritable tension électrique. Jamais Pablopolar n’a sonné aussi rafraîchissant, direct et authentique.