The Crags

Ils envoient, ils enroulent, ils dépotent. Cinq instruments entre des mains amicales, agiles, précises et chaudes, avec ce tremblement particulier : intensément vivantes. La voix, deux guitares, une basse, un orgue hammond, une batterie – le touché du feeling en aura, l’anglais en lyrics. Sur presque toutes les scènes du coin et parfois bien plus loin, on trouve des traces vieilles de dix ans, mais encore fraîches et palpitantes. Elles vibrent du trauma: un rock hybride, tentaculaire, cultivant les rituels poétiques et sulfureux de l’esprit vintage, suintant le calvaire adoré des initiations existentielles. La bande de potes ne marche pas à la séduction.

C’est franc dans ton ventre, plaqué sur ton tympan, ça colle et ça tire, ça frappe et ça embrasse, avec gaillardise et finesse. Un art de la composition cultivé en groupe qui aime ouvrir ses pores à de multiples influences et ose inventer des assemblages inattendus, des complexités exigeantes – par goût, par pur plaisir. Y a une joie diabolique de casser de la note dans cette machine à titres jouissifs qu’on écoute le fessier entre mille chaises, le visage grimaçant de mille petites morts.

Los Tres Puntos

Hasta la muerte

Survivant du ska punk 90’s, marqué au fer rouge par le rock alternatif 80’s, LOS TRES PUNTOS revient avec le nouveau «Hasta La Muerte», sorti dans les bacs ! 12 bombes Ska , Rock , Punk, Dub aux sonorités chicanos, aux élans morriconniens, le tout teinté de rock rauque alternos hispano-parisien .

LOS TRES PUNTOS c’est l’entrain du ska et la rage du punk rock pour un cocktail à réveiller les morts. Rythmique effrénée et implacable relevée par une section cuivre virtuose, où les textes chantés en français et espagnol croquent le quotidien de notre époque sombre et torturée.

LOS TRES PUNTOS, reconnu pour ses concerts endiablés depuis 1995, tient haut la barre d’une certaine façon d’appréhender le musical et l’extra-musical. Fidèle à leurs valeurs humanistes, le parcours de Los Tres Puntos est des plus limpides et irréprochables.

Fervent défenseur de l’autoproduction et du DIY, LOS TRES PUNTOS c’est 16 ans d’activisme, plus de 600 concerts dans toute l’europe, 5 opus autoproduits, plus de 30 000 albums vendus …

LOS TRES PUNTOS est un des représentants les plus remarqués de ses 15 dernières années de la scène rock alternative française.

The Deeds

Expérience, puissance, efficacité.

Tels sont les maîtres mots de The Deeds, nouveau Power Band prêt à débarquer sur les scènes avec un tout premier album. Formation récente, constituée en 2016, The Deeds correspond a toutes les caractéristiques du « Power Band ». Issus de groupes renommés, ses membres sont tous des musiciens rompu à l’exercice de la scène depuis de nombreuses années sur le plan national et international. Ils mettent en commun leurs influences et leurs expériences pour produire un rock puissant et efficace.

Ainsi les fans de Krokus retrouveront une section rythmique solide avec Pat Aeby (batterie) et Dom Favez (guitare rythmique), ceux de Maeder ou Dry, pourront à nouveau entendre Sebastian Maeder (Guitare) apportant une « australian touch » inspirée et enfin les afficionados de Dirty Sound Magnet apprécieront les envolées vocales de Didier Coenegracht, achevant de donner à l’ensemble une couleur seventies aux accents bluesy.

L’exellent travail de basse est assuré avec brio par Jan Peyer, fantastique bassiste, permettant à cette formation de sortir des sentiers battus musicaux habituels.

MOUNTAIN MEN

MOUNTAIN MEN est un groupe rare qui a écrit son histoire en quelques dates : 2009, sortie du 1er album  » Spring time coming « , 2012, deuxième album  » Hope  » suivi en 2014 par  » Against the wind « . C’est au total plus de 600 concerts pour le duo Mat Guillou et Barefoot Iano qui a su faire vibrer de nombreuses scènes françaises et étrangères.

En 2016, MOUNTAIN MEN décide de dynamiter ses références blues pour présenter un nouvel album qui va marquer un changement musical majeur. Pour la réalisation de  » Black Market Flowers  » Mat et iano font appel à Denis Barthe qui est très vite conquis par le projet. Olivier Mathios rejoint rapidement le duo et après 21 jours passés en studio et quelques participations musicales (Estelle Humeau aux claviers, Hervé Toukour au violon, Jean-Paul Roy guitares add )  » Black Market Flowers  » est prêt.

Il semble évident pour Mat, iano, Olivier, et Denis que cette rencontre doit se prolonger sur scène.

C’est chose faite avec cette tournée, qui donne l’occasion à un nouveau public de découvrir un groupe “hors normes” et pour les fans du duo de retrouver l’univers de MOUNTAIN MEN revisité à quatre musiciens.

Résolument tourné vers le Rock MOUNTAIN MEN explore de nouvelles sonorités sans oublier ses racines et vient s’imposer comme une référence unique dans le paysage musical français.

Un concert à ne pas manquer !!

The Clive

Flûte à six trous, colt à six coups. The Clive c’est canon scié autant que fleur au fusil, une déclinaison éclairée de styles dans un album cohérent. Du rock pur à la The Hives au blues 2.0 de Kill it Kid, The Clive navigue en eaux tumultueuses avec brio. Attitude, sueur et classe définissent leur genre. Construits sur le meilleur du rock, ils savent s’inspirer des plus pertinents pour réinventer un genre qui ne mourra sans doute jamais. Ils sont cinq, ils sont talentueux et ils sont partis pour séduire.

Ils se sont adjoints les services de Julien Fehlmann (The Rambling Wheels, The Ocean) pour produire leur premier album. «Two Wrongs Don’t Make a Clive» sort le 03.06.16 été sur La Belle Mécanique, une structure dirigée par les boss de Hummus Records et de Studio Mécanique. En ressortent onze titres ébouriffants mais soignés, marqués de collaborations de choix (Fanny Anderegg et Raphaël Weber alias Dr Wheels).

Le groupe fera parler de lui dans les semaines qui viennent. Quelques events sont prévus pour la sortie de l’album. Le vernissage, lui, aura lieu à Festi’neuch le 9 juin 2016, aux côtés de Skunk Anansie et The Cranberries. Le booking est ouvert dès maintenant via Reelmusic (Hathors, Elvett, Navel – http://reelmusic.cc). Leur premier single «Stray Hares Run Out Of Mojo» surfera sur les ondes en avril.

One Rusty Band

One rusty band est un duo Genevois explosif composé de Greg (one man band) qui couvre le chant, la batterie, l’harmonica, la guitare et de Léa aux claquettes (tap dance) acrobatiques. La musique de One Rusty Band surf entre le blues des 50s et le rock n’roll 70s. Le mélange d’instruments atypiques telle que guitare cigare box et micro téléphone pour le chant, crée ce son dirty blues rock si particulier. Sur scène le duo devient très visuel, grâce aux claquettes acrobatiques enflammées et à la batterie explosive jouée au pied.

One Rusty Band crée un show qui en met plein la vue et les oreilles.

Le programme 2017

Dans le cadre idyllique du Parc de l’Indépendance à Morges, se tiendra la 10e édition du Paillote Festival. 

Du jeudi 14 au samedi 16 septembre 2017 seront mis à l’honneur, au gré de soirées éclectiques, des artistes issus principalement de la scène musicale helvétique, tout en favorisant l’émergence de la jeune relève :

LOS TRES PUNTOS • MOUNTAIN MEN • SOLANGE LA FRANGE • ANACH CUAN • BOOOST • KOQA BEATBOX • THE DEEDS • THE CLIVE • ANTIPODS • PRIMASCH • JACKO & THE WASHMACHINE • KACEO • ONE RUSTY BAND

Le festival sera ouvert par le futur vainqueur du Tremplin qui aura lieu le 16 juin durant les Fêtes de la Musique.

Pour plus de détails sur les horaires et les artistes, consultez www.paillote-festival.ch/programme

Vous pouvez également télécharger ici le Communique de presse.

Koqa Beatbox

Koqa Beatbox est une formation originale de beatbox, batterie et trompette, mêlant Hip-hop et électro, en passant par le jazz, la musique ethnique ou encore la dubstep. Arthur Henry, beatboxer suisse qui sillonne les salles de concerts depuis 2010 avec un show de beatbox samplé dynamisé par du rap, est rejoint en 2013 par Félix Fivaz (batterie) et Paul Butscher (bugle) pour des concerts proposant au public une musique originale et des atmosphères envoutantes.

Kaceo

Kaceo existe sur scène depuis 2013. Mais sur internet, c’est depuis 2007 que Nicolas Vivier publie sur le site Jamendo quelques maquettes qui dépassent maintenant les 500’000 écoutes. Quelques années nomades plus tard, il s’installe à Genève et reprend la musique.

Vient donc 2013 et les premiers concerts : Kaceo devient un trio avec la guitare de Luis Pisconte et l’accordéon de Karim Maghraoui, puis un quatuor avec les percussions de Benoit Roessinger.

En 2014, ils enchainent une trentaine de dates, entre Genève, Lausanne, Yverdon, Montreux, La-Chaux-de-Fonds, Paris et récoltent leurs premières distinctions.

Pour commencer 2015, Kaceo sort un EP « Ne pas jeter » et se montre en quintette avec Florian Casarsa à la batterie et Quentin Mathieu à la basse. Ils mettent alors le cap sur les découvertes du festival Voix de fête, sortent un premier clip « Ar-Men », puis en Septembre redoublent la mise : nouvel EP « Déchets spéciaux » et nouveau clip « Disque d’Or ».

Avec une certaine audace ils représentent en 2016 la Romandie à la finale suisse de l’Eurovision. C’est aussi l’année de leur 100ème concert et de l’enregistrent de leur premier album ,​ Mal entendus, qui sortira l’année suivante.

Antipods

Jeune formation Pop originaire de la capitale vaudoise, ANTIPODS a vécu de grandes choses en 2016 sur scène avec le festival transfrontalier Walk the Line, Les Hivernales de Nyon, une première partie pour All Tvvins à Fri-son et clou de la saison un concert époustouflant en ouverture du Paléo 2016.

2016 marque aussi la sortie du deuxième album d’ANTIPODS intitulé YKMN qui remporte un franc succès auprès du public et de la presse avec des commentaires élogieux de plusieurs webzines romands, français, anglais et même espagnols. Ce nouveau disque fait plus que jamais la part belle aux rythmiques syncopées et aux mélodies imparables. Deux titres sont par ailleurs en repérage sur Couleur 3 (Animal et All I Wanna Do).

En confiance et plus motivé que jamais à faire connaître sa musique par l’énergie du live, ANTIPODS a toujours promis et n’a jamais failli à tout donner une fois s’être emparé d’une scène.