Anach Cuan

Avec près de 350 concerts en 14 ans d’existence, Anach Cuan s’est affirmé comme un des leaders de la scène celtique Suisse. Mais pas seulement… Avec des concerts dans les cadres les plus prestigieux, comme le Montreux Jazz Festival, le festival Label Suisse, le Festival Voix de Fêtes, le Festival Terre des Hommes ou encore l’EBU Folk Festival à Gdansk, Anach Cuan et sa musique mêlant le celtique à la pop et à la folk, avec des rythmiques puissantes, réussit à dépasser les frontières du monde celtique pour toucher un public de plus en plus large.

Anach Cuan a déjà sorti trois albums studio, dont son dernier, “Un peu de tenue s’il vous plait” (2012), a été mixé par Philippe Brun (Grammy Award 2005 pour l’album de Youssou N’Dour “Egypt”). Actuellement, un 4ème album, qui sortira à l’automne 2016, est en préparation.

En plus des disques, Anach Cuan a sorti en 2013 un DVD live enregistré Guinness Irish Festival de Sion devant plus de 8’000 personnes.

Primasch

Las d’exprimer son savoir-faire sur des pièces classiques trop figées à son goût, le violoniste virtuose Primasch a branché son violon sur le 220 volts pour se forger un son énorme et unique, au service d’un crossover original de blues-rock et de folklore oriental. De son archet, il tire un trait d’union aussi imprévu qu’enthousiasmant entre notes bleues et harmonies gypsy. Avec le Tzigan Dreams’ Collector, ils revisitent le répertoire traditionnel gitan, klezmer, turc et hongrois, en soumettant leurs mélodies éternelles à un traitement rock de choc, sans fausse pudeur.

Primasch ose tout et distribue moult clins d’œil à Jimi Hendrix, Gary Moore et Led Zeppelin. S’il n’hésite pas à lorgner du côté du metal (Odessa Bulgar, The Sultan’s Throne, Fun Tashlikh & Badkhen Freylakh), il sait aussi se faire tour à tour tendre et langoureux (Moskovskija Okna, A Glezele Vayn, Little Girl), hypnotique et fascinant (Gasn Nigun, Moj Dilbere, Orientalishe Melody,) ou furieusement dansant et entraînant (Miserlou, Tziganoshka, Go Ahead!).

Dans l’ambiance festive et endiablée de la taverne musicale de Primasch & The Tzigan Dreams’ Collector, c’est le whisky qui accom-pagne les baklavas et les œufs au bacon se dégustent à la vodka. Na zdrowie!

Booost

No Joking in the Laboratory

Le son typique de BOOOST est puissant, c’est un mélange de reggae grand cru, ensoleillé ,additionné d’une bonne mesure d’esprit groovy et de 2-3 cuillères à café d’accents rock. Assaisonné encore de la voix soul du chanteur américain Reggie Saunders, voilà donc une composition pleine de panache, qui a été secouée dans un mixer magnétique, passée trois fois au tamis puis pressée en pièces d’argent à votre disposition.

Il en résulte une ligne de produits efficaces pour le traitement des affections tant physiques que mentales. BOOOST est fantastique contre les raideurs de hanche ou les coins de la bouche qui tombent.

Quiconque a expérimenté BOOOST en direct(live) connaît les effets d’un de ses concerts sur la santé : transpirations intenses, gigotements, spasmes imprévus. Plus rarement, on rapporte des éruptions cutanées, voire des bouleversements de la libido, puisque impossible à quitter l’ambiance.

BOOOST est né des restes du groupe défunt MOONRAISERS et c’est un des meilleurs groupes de reggae/rock qui vit en Suisse.

Jacko & the Washmachine

Avec les romands Jacko & the Washmachine la musique chantée en français est écrite, une fois encore, en majuscules. À peine leur premier album « Emballage Moderne » publié Jacko and the Washmachine partent à l’assaut des ondes Radio : la playlist de Radio Télévision Suisse la première leur est ouverte et l’opus devient immédiatement album suisse de la semaine sur Option Musique. Premier single de l’album, c’est le duo avec le chanteur Thierry Romanens « À mon Enterrement » qui fait mouche dans les oreilles des auditeurs. Sur les scènes l’histoire est plus… turbulente : derrière leurs airs décalés et sauvages Jacko et sa bande prouvent dans l’exécution de leur répertoire une rigueur impressionnante.

Ecléctisme et exigence sont au programme. Jacko & the Washmachine dégage le mieux son énergie en live, dans la sueur et la bière, dans l’interaction avec l’audience, scandant des textes en français, engagés et personnels. Un univers complexe et intime, à la fois brutal et tendre, obscur et touchant, nourri d’influences innombrables.