La Caravane Passe

La Caravane Passe revient en 2016 avec un nouvel album intitulé CANIS CARMINA (les chants du chien). Un album composé de 10 titres, dont 6 acoustiques et 4 remix. Pour ce nouvel album et ce nouveau show, La Caravane Passe confirme qu’elle a la bougeotte. Leur musique se joue des frontières entre traditions (des Balkans au Maghreb en passant par la Catalogne) et musiques actuelles (rock, hip-hop, rage). Elle laisse se déployer son univers de voyage, de nomadisme et de déracinement. Le point de vue « caravanien », c’est le point de vue des gens de passage, qui découvrent une société et la décrivent avec poésie et étonnement.

Autour de Toma Feterman (chanteur, auteur et compositeur principal du groupe, et également connu sous le nom de John Lenine au sein du Soviet Suprem), le groupe est resté intact et soudé depuis 15 ans, avec Olivier Llugany (au fiscorn et au chant), Zinzin Moret (au sax), Ben Body (à la basse) et Pat Gigon (à la batterie). 15 ans de tournées, 5 albums, 1 disque live, et 1 « Opéra-Gypse-Rock » mythique : Le Vrai-Faux Mariage. Fort de ses collaborations avec entre-autres Sanseverino, Rachid Taha, R.wan, Marko Markovic, Stochelo Rosenberg, ou encore Tom Fire, le groupe a su puiser dans les musiques les plus variées, tout en gardant sa couleur propre et originale.

Canis Carmina, ce sont les chants d’un chien sédentaire devenu errant depuis le passage d’une caravane devant son foyer. Refusant de lui aboyer dessus, il a choisi de quitter son maître pour devenir une sorte de touriste éternel. Un voyage sans attaches, plein de rencontres et de photographies musicales; une barmaid féerique, un homme d’affaires ? qui fait sa traversée du désert, des klaxons qui font danser, un défunt gitan, un chien qui boit sans oublier…

La voix de Toma, tantôt chantée, tantôt rapée, retrace ce périple du quotidien et ces rencontres oniriques, tout en rappelant sa double culture (parisienne et d’Europe de l’Est). Et quand Llugs, le tromboniste, prend la parole, c’est pour y apporter une touche gitane de la Catalogne. La réunion de ces deux acolytes, c’est déjà l’Europe qui se réunit. Mais une Europe culturelle, une Europe qui confronte ses folklores oubliés, comme pour mettre tout le monde d’accord.

Todos Destinos

Todos Destinos, entité non-palpable composée de 10 réservoirs à bonne humeur est reconnue pour ses interventions sonores de type « immenses fêtes » Quand certains cherchent la carrière prolifique, Todos fait des pauses de 2 ans pour voyager. Là ou d’autres se tirent la bourre sur leur look, Todos propose ouverture d’esprit et camaraderie. Quant à ceux qui rêvent music-business et contrats faramineux, Todos leur ri au nez en revendiquant indépendance et liberté. Les Todos, c’est un peu le contre-pied permanent, la touche de délire dans un quotidien souvent trop maussade.

Ska festif, Rock enragé ou Reggae chaloupé à touches latino, c’est un concentré d’énergie joué par une bande de potes que les Todos vous proposent depuis 2002. 13 ans plus tard, « Les Attracteurs Etranges » est une synthèse d’une décénie de voyages, de fête et d’ouverture mais aussi d’indignation et de prise de conscience ! Si les bons-vivants ne vous font pas peur, venez fêter avec eux en live. C’est sûr, ils ne passent pas loin !

Samia Tawil

Samia Tawil est une auteure/compositrice/interprète genevoise de style Rock-Soul. Sa musique est un riche mélange se situant à cheval entre la sensualité d’un Funk-Rock vintage comparable à celui de Lenny Kravitz, et la puissance et l’éloquence de rockeuses féminines dans la veine d’Alanis Morissette ou de Skunk Anansie. Sa musique puise aussi ses influences dans ses racines métissées, faisant du rock de Samia Tawil un mélange d’influences d’une poésie unique. Née à Genève d’un père suisse/syrien et d’une mère marocaine, auteure de romans poétiques, Samia Tawil s’est très tôt découvert une passion pour les mots et l’écriture, parallèlement à la musique, ce qui se reflète dans la force évocatrice de ses paroles qui souvent, rendent compte d’injustices sociales comme elle a pu en être témoin en ayant vécu au Liban, au Brésil ou encore au Maroc.

Son récent album « Freedom is now » qu’elle a présenté en avant-première au Montreux Jazz festival en juillet 2013 lors d’une performance très remarquée, témoigne de cette richesse, et offre l’univers unique d’une Rock-Soul tantôt suave, tantôt rebelle, teintée d’accents world, un album qu’elle a continué de faire connaître à un public de plus en plus fidèle en 2014 lors de concerts à l’Arena de Genève lors de la One FM Star Night devant un parterre de 7000 personnes, ainsi qu’aux Docks, ou encore au Chat Noir, ainsi qu’au fameux Festival Mawazine.

Jetlakes

Le groupe poprock de Jetlakes entame l’année 2015 avec la sortie de son deuxième EP “Projections” (4 titres). En janvier, les genevois ont défendu pour la première fois “Projections” dans la salle du Chat Noir de Carouge (CH) lors d’un concert annoncé à guichet fermé. Cette expérience live annonce alors un tournant dans la carrière du groupe. Leur single “Empty Rooms” est immédiatement adopté par les radios (Yes FM, One FM, Rouge FM) et offre ainsi au groupe une visibilité sur les ondes hertziennes mais également à la télévision (Léman Bleu).

En 2014, la genèse du groupe est marquée par la sortie de “Back to life“, un premier single deux titres donnant naissance au projet. Durant cette période, l’habileté et le professionnalisme des Jetlakes se confirment grâce à de multiples expériences live (France et Suisse principalement: Réservoir Paris, Palladium Genève,

l’Arena Genève…).

Au delà de ce simple succès, le groupe est amené à évoluer. En septembre 2014, les deux guitaristes Romain et Yannick quittent le groupe et laissent ainsi à l’entité Jetlakes un potentiel de renouveau. C’est de cette façon que le groupe fait le choix d’intégrer un nouveau guitariste (Gaël) et de laisser ainsi plus de place au clavier et aux samples. Ce changement ouvrira de fait, de nouveaux horizons exploités aussitôt sur “Projections“. Depuis, les quatre musiciens forment un groupe à l’unisson. Leurs noms ? Alex (chant et clavier), Gaël (guitare et choeurs), David (basse et choeurs) et Arthur (batterie et samples).

Si le groupe a été marqué par un changement de formation et la sortie d’un deuxième EP, l’âme de Jetlakes s’est incontestablement forgée grâce à la scène. Pour sa deuxième année d’activité, le quatuor a entre autre foulé les planches du Caribana Festival à Crans-près-Céligny, de la Fête de l’Espoir à Genève, des Fêtes de Genève (première partie de Cats On Trees) et a également été programmé pour les Fêtes de la Musique de Genève, Nyon, Yverdon et Fribourg (oui tout ça en deux jours!). Ces multiples apparitions ont attiré l’attention des professionnels.

À la suite de leur performance au Caribana Festival, les musiciens signent en juin 2015 un contrat de booking avec l’agence Tenacity Music.

Pour continuer sur leur lancée, ces quatre garçons dans le vent reprennent le chemin des studios en août 2015 pour enregistrer leur premier album. Ils renouvellent alors leur collaboration avec Steven Forward, ingénieur du son et réalisateur anglais dont les collaborations forcent le respect: Paul McCartney, Ray Charles, Stevie Wonder, Jimmy Page… Depuis le début du projet, Steven est considéré comme le 5 ème membre de Jetlakes de par sa proximité et sa complicité avec le groupe. Dans l’optique de “développer quelque chose de professionnel”, en plus de l’appui de Steven Forward, le groupe continue de s’entourer et crée début 2015 son propre label Jetprod Music. Jetlakes grandit donc au sein de sa propre structure et se revendique comme un groupe indépendant.

Death by Chocolate

Swiss rockers Death By Chocolate have clocked up a number of significant milestones in recent times, performing with Bon Jovi at Letzigrund Stadium, Zurich, Switzerland, at Woodstock in Poland, and at the EXIT Festival in Serbia. Back home they were nominated by the Swiss Music Awards in the category « Best Live Act 2015 ». Alongside the highlights there have been long periods of hard and intense work. Their first album FROM BIRTHDAYS TO FUNERALS and their current work AMONG SIRENS (producer Ronald Bood, Mando Diao) are worlds apart, not so much in terms of the musicianship but rather in the rapid transformation of the band from newcomers to self-confident group with a purpose. AMONG SIRENS delivers a courageous, rough, no-messing rock sound. The songs reflect the determination of the band’s five members to create Death By Chocolate’s particular own brand of rock music. There’s no doubt that the evolution from emerging band to accomplished musical troupe evidenced by maturity of their second album, can be attributed in part to their more than 100 live appearances in both Switzerland and abroad where they have made some fairly influential international appearances such as a spot at Whisky a Go Go in LA, as well as playing several European tours including one with The Blue Van in Denmark. More recently they broke into the Swiss top 10 album charts and were chosen by national radio station SRF3 as BEST TALENT. In Spring this year they were awarded the Ultimate Industry Package at the Rock Summit in LA which goes hand in hand with an album release now scheduled in the United States, along with the release of the single ALFRED. This represents a huge step for the band from Biel in Switzerland, although it’s not entirely unexpected. The band has come a long way on their musical journey; the Death by Chocolate brand of rock is now authentic, punchy and uncompromising. What’s their aim? « To shake, stomp and rock stages all over the world, and blow some minds and ears ». There’s no doubt they’ll be reaching a few more milestones very soon.

Pablopolar

COLORIZE, le troisième album de PABLOPOLAR est paru le 11.09.2015. Le vaisseau spatial des cinq bernois revient sur terre tel un feu d’artifice sur notre paysage musical.

Les douze morceaux élargissent le son des deux albums précédents en joignant les attitudes rock de l’album «Any minute now» (2011) et les éléments un peu plus folk mélancoliques de «Sleepwalker» (2013). Ils nous emmènent dans de nouvelles sphères inexplorées. La sobre instrumentation ramène les chansons à l’essentiel. Les mélodies fragiles et mélancoliques soutiennent gracieusement la voix baryton de Manuel Kollbrunner. Comme dans les deux premiers albums, les mélodies sont marquantes, les passages de guitare de Simon Vogt sont authentiques et les rythmes sont simples et efficaces. Il y a tout de même du nouveau: PABLOPOLAR sonne positif. Les morceaux sont pleins d’énergie, le groupe possède un groove entraînant, les guitares rappellent les grands moments du Britpop et les synthétiseurs donnent aux chansons plus tranquilles une véritable tension électrique. Jamais Pablopolar n’a sonné aussi rafraîchissant, direct et authentique.

Broken Box

Découvrez le power rock incisif de Broken Box !

Initié il y a déjà quelques années, ce groupe lausannois s’est construit  avec le temps, un prélude conclu par un enregistrement au studio de La  Fonderie à Fribourg.

Le quatuor va ainsi sortir en septembre 2016 un premier EP qui réunit 4  titres comme autant de clins d’œil aux années passées. Mais l’avenir de  Broken Box se joue sur scène, là où le groupe exprime une énergie qui rappelle les débuts de Muse et l’efficacité de Triggerfinger.

François Hadji-Lazaro & Pigalle / Jeune Public

*Concert pour jeune public !*

« Ma Tata, mon pingouin, Gérard et les autres » est sorti en septembre 2011 chez les Editions Milan (Collection Tintamarre). Dans ce livre- disque 11 morceaux inédits côtoient 3 « classiques » réarrangés que François Hadji-Lazaro avait écrit pour : Pigalle, Les Garçons Bouchers et Los Carayos pour des compilations pour enfants, produites par son label d’époque « Boucherie Productions » (« Mon grand frère est un rockeur » et « Petite oreille »).

C’était le premier livre-disque pour enfant de François Hadji-Lazaro et un grand succès auprès du public : 135 représentations entre 2012 et 2013 et des concerts complets la plupart du temps. Après un clap de fin à la Maroquinerie et à l’arbre de Noël des Vieilles Charrues en décembre 2013 le groupe Pigalle repart sur les routes (pour les grands adultes cette fois) avec l’album « T’inquiètes » qui sera joué presque une centaine de fois jusqu’en 2015.

Sans prendre le temps de souffler François Hadji-Lazaro et ses acolytes investissent à nouveau les bacs à sable ! Ces agitateurs brossent une mise en scène de la vie moderne à hauteur de gosse, désopilante, loufoque et terriblement réaliste à la fois.

Dans « Pouët » nous retrouveront 2 musiques du groupe PIGALLE avec des paroles réécrites pour les Kikis (Dans la salle de la cantine de la rue de Martine & J’ai deux mains gauches) ainsi que « Rejouer juste une fois à la récré avec les potes », morceau original de Pigalle.

 

Melissmell

Il y a dans cet album des colères, des larmes, des splendeurs, des tristesses, des forces, des prodiges. Ce n’est pas un gentil disque de chansons sages. « Dans Droit dans la gueule du loup », Melissmell contemple la gueule cassée du monde sans détourner les yeux. Rage, sincérité, profondeur, compassion.

En travaillant à ce deuxième album, elle n’a pas conservé ses propres chansons. Elle a décidé de ne chanter que les oeuvres de Guillaume Favray, qui avait déjà signé deux titres du premier album de Melissmell, « Écoute s’il pleut ».

Pourquoi ? L’envie irrépressible de faire vivre des chansons qu’elle admire et qui, autrement, resteraient au placard. « Cet album, c’est celui que Guillaume aurait pu faire, l’album qu’il aurait dû faire », dit Melissmell, admiratrice d’une écriture héritière de Jacques Brel ou de Mano Solo.

Elle a enregistré avec deux musiciens au parcours éloquent : le pianiste Matu a joué plus de dix ans avec Mano Solo et a arrangé l’album Les Années sombres (une référence majeure pour Melissmell et Favray) avant de partir avec Indochine, et le guitariste Daniel Jamet était dans la Mano Negra avant d’accompagner lui aussi Mano Solo. Mais ces deux aînés (renforcés par Christine Ott aux ondes Martenot sur trois chansons) étaient aussi de vieilles connaissances : « Le hasard fait que les premiers musiciens que j’ai rencontrés en arrivant à Paris sont les musiciens de Mano Solo. »

Cela donne une étonnante cohérence à son parcours pourtant chaotique. « Je ne suis pas de la ville », dit-elle d’emblée. Elle vient d’un village d’Ardèche, d’une famille « dans laquelle le texte français est très présent ». Sa mère est fan absolue de Goldman, sa grand-mère adore Desproges, elles se partagent Brel, Coluche, Brassens, Devos… « Toute la variété française est passée chez moi », avant que Mano Solo et le punk lui retournent la tête. Dès lors, elle présente « tous les symptômes de la fille qui va devenir artiste ». Tant pis pour l’école. « J’ai fait tous les métiers imaginables quand on part de rien. Quand j’en ai eu assez d’être l’esclave apprentie d’un patron, je suis partie sac au dos et j’ai atterri dans la rue. » Elle chante sur les trottoirs en dormant dans le bois de Vincennes, passe un BTS sans avoir le bac, se fait peintre en bâtiment et graphiste, conquiert son premier public dans les bars et dans les squats. « Et la vie m’a récompensé du travail et des risques que j’ai pris. »

Mélanie est alors devenue Melissmell, pour la mélisse qui, selon la tradition, soulage « les maux des femmes », pour Smells Like Teen Spirit, pour le mélisme, pour « Mel is Mel », pour le lys de mer fossile que l’on trouve dans le sous-sol de l’Ardèche… Et, pendant six ans, Melissmell a écumé les scènes avec quatre musiciens rencontrés à Strasbourg et, comme elle, nourris de rock et de rage. Avec eux, elle est devenue une référence. Son Aux armes mêlant Marseillaise et Internationale a rappelé que la chanson en France peut encore refuser la tiédeur. Et les concerts incandescents de Melissmell réconcilient amoureux du verbe haut et fervents de l’électricité.

Armée des mots de Guillaume Favray, elle arpente avec « Droit dans la gueule du loup » un territoire de mélancolies véristes et de poésie noire. Elle l’avoue tout droit : « Il s’agit de dire la vérité, quitte à se faire détester. » Mais c’est le plus sûr chemin pour conquérir les coeurs.

Lady Bazaar

Cocktail explosif, Lady Bazaar réunit quatre jeunes artistes suisses et français au sein de la capitale vaudoise. Né en octobre 2012, cette formation originale formée d’un vibraphoniste/claviériste, d’un flûtiste/machiniste/vocaliste, d’un chanteur/bassiste et d’un batteur s’oriente vers un répertoire de compositions inédites.

Après une centaine de concerts en France et en Suisse, Lady Bazaar sort son premier album intitulé « First Date » en livrant une musique puissante, énergique et originale.

Laissant place à l’improvisation, soutenue par une section rythmique du tonnerre, leur concert vous propose un voyage détonnant et riche en couleurs qui enchantera tant les mélomanes que les accros du dancefloor! Du Groove, à la Soul et à la Pop, leur musique saura vous envoûter et vous ouvrir les portes d’un univers plein de charme.